
Le silence du vendeur professionnel : une réticence dolosive sanctionnée
La Cour d’appel de Bruxelles (14 août 2025) a annulé une vente immobilière pour réticence dolosive d’un vendeur professionnel. L’omission volontaire d’informations essentielles – arbre classé, avis défavorable, prescriptions urbanistiques – a été jugée suffisante pour vicier le consentement. Un rappel fort : le vendeur professionnel est tenu à une transparence accrue, son silence pouvant mener à la nullité de la vente.